Le Grand Remplacement, c’est-à-dire le remplacement progressif des autochtones européens par des populations étrangères (principalement africaines) est un phénomène qui n’est plus à démontrer et que n’importe qui peut constater en sortant de chez lui. Longtemps, les Européens n’ont pas pris la mesure de ce qui était en train de se passer. Mais aujourd’hui, les naissances extra-européennes représentent en France plus de 40% des naissances (1), et il devient à peu près impossible de dire que le pays n’a pas changé de visage ces dernières décennies.
Un récent sondage Harris Interactive (2) indique désormais que 61 % des Français pensent que les Européens pourraient finir par devenir minoritaires dans leur propre pays. C’est sans surprise chez les électeurs de droite que l’on trouve la proportion la plus élevée de gens qui le pensent, mais même les chiffres des électeurs de gauche donnent à réfléchir : 44% des électeurs socialistes et mélenchonistes. L’idée que les Européens puissent finir par être minoritaires sur leur propre sol est désormais communément admise par les Français.
Plus intéressant encore, 67% des Français, soit plus de 2/3 des Français sont inquiets à l’idée de devenir une minorité sur leur propre sol. Si il est dur d’établir la proportion exacte pour les Bretons seuls, on peut imaginer qu’au moins la moitié d’entre eux s’inquiètent de leur disparition en tenant compte du paysage politique local.
Comme l’écrivaient nos camarades de Breiz Atao « cette bataille idéologique contre le système politico-médiatique et judiciaire parisien est donc gagnée » (3). Reste maintenant à convaincre nos concitoyens de la nécessité de couper les robinets, mais aussi et surtout d’ouvrir les vannes dans l’autre sens en engageant une audacieuse politique de renvoi.
En avant !
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Neven ar Ruz
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(1) https://barr-avel.blog/2021/05/26/ou-en-est-le-grand-remplacement-dans-lhexagone/
Barr-Avel 