À Rennes, plus d’1 jeune sur 4 est d’origine extra-européenne

À Barr-Avel, nous n’avons pas peur de dire que le remplacement de la population autochtone bretonne par des populations étrangères est une tragédie et constitue un véritable crime contre le peuple breton.

Dans un précédent article, nous avions cherché à établir le nombre d’extra-européens en France et en Bretagne (1). Nos estimations portaient sur un chiffre avoisinant les 15 millions d’extra-européens en France, avec de fortes disparités régionales. La Bretagne reste sans surprise la zone la plus préservée, avec environ 350.000 extra-européens sur une population totale de 4,8 millions d’habitants (1). Pour ce qui est des naissances spécifiquement, près de 42% des nouveau-nés en France en 2019 avaient des origines extra-européennes (2). Ici encore, la Bretagne se portait mieux avec un peu moins de 12%.

Drépanocytose France

Une nouvelle information vient renforcer notre constat du changement de population en Bretagne : les données de France Stratégie. Cette institution française, rattachée au Premier Ministre, a pour objectif de déterminer des grandes orientations pour l’avenir du pays et d’établir des objectifs à moyen et long terme pour son développement et pour la mise en place de réformes. Elle donne accès librement à un certain nombre de données sur les métropoles du pays, données totalement officielles car issues de l’INSEE (3).

La catégorie qui nous intéresse aujourd’hui est celle de « 0-18 ans, enfant de parent immigré », qui correspond très exactement selon le site à une « personne âgée de 0 à 18 ans, immigrée d’origine extra-européenne ou identifiée comme enfant dans un ménage dont la personne de référence et/ou son conjoint est immigrée d’origine extra-européenne. Si les deux parents sont immigrés, la personne de référence du ménage est immigrée d’origine extra-européenne. ».

Voici donc la carte pour l’agglomération rennaise :

Immigration Rennes
Carte de la part des enfants d’origine extra-européenne

Les données de l’INSEE permettent donc d’affirmer que plus d’un jeune de moins de 18 ans sur 4 est extra-européen à Rennes.

Des chiffres inquiétants, qu’il convient d’affronter avec réalisme : les choses vont mal. Les militants bretons ne peuvent plus éluder la question, sans quoi, le peuple breton ne passera pas la fin du siècle.

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Neven ar Ruz

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(1) https://barr-avel.blog/2020/11/25/ou-en-est-le-grand-remplacement-en-bretagne/

(2) https://barr-avel.blog/2021/05/26/ou-en-est-le-grand-remplacement-dans-lhexagone/

(3) https://www.causeur.fr/immigration-et-demographie-urbaine-les-cartes-a-peine-croyables-de-france-strategie-208601

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