La Belgique était récemment secouée par des émeutes afro-maghrébines après le décès d’un jeune homme guinéen prénommé Ibrahima et récemment naturalisé belge. Ce dernier est mort d’une crise cardiaque samedi 9 janvier après avoir essayé de fuir la police en courant. La presse du régime a bien entendu tout de suite hurlé au racisme institutionnel (1).
Les immigrés belges, agités par la presse du régime et par les groupuscules marxistes ont sauté sur l’occasion pour organiser des rassemblements et semer le chaos. Comme on pouvait s’y attendre, les manifestations ont dégénéré en émeutes, les rues furent dégradées et des cocktails molotov furent lancés sur un commissariat dans lequel s’est déclaré un début d’incendie.
Le Vlaams Belang, parti nationaliste flamand de premier plan, a saisi l’occasion pour protester contre les émeutiers et demander la suppression du droit de vote aux étrangers non-européens aux élections communales :
Pour le député fédéral du Vlaams Belang Dries Van Langenhove : « Si des bandes allochtones peuvent semer le désordre et le saccage dans les rues de Bruxelles, c’est évidemment parce que les politiciens qu’ils ont élus les laissent faire. (…) Les conséquences (du) maternage des allochtones sont très visibles à Bruxelles. Dans une commune comme Saint-Josse-Ten-Noode, par exemple, on dénombre que 21 des 29 conseillers communaux sont d’origine étrangère. Même l’ancienne sénatrice Sfia Bouarfa (PS) déclarait en 2012: « Ils sont souvent élus en fonction de leur couleur de peau ou de leur religion. C’est une approche mercantile de la politique ». » (2)
Le Groupe du Vlaams Belang a donc déposé à la Chambre une proposition qui vise à retirer le droit de vote aux étrangers non européens pour les élections communales.
Les nationalistes bretons apportent tout leur soutien aux nationalistes flamands qui luttent quotidiennement depuis des années pour la Flandre reste flamande. Bevet ar Vlaams Belang !
Neven ar Ruz, pour Barr-Avel.
Barr-Avel 