Dix ans de terrorisme islamiste en France.
Hier, la France était encore une fois frappée par le terrorisme islamiste. Samuel Paty, enseignant d’histoire-géographie de 47 ans, a été décapité par un tchétchène de 18 ans. Le message de revendication ne fait aucun doute : Samuel Paty a été décapité au nom d’Allah.

Ces 10 dernières années, l’islamisme a fait des centaines de morts en France (1). Si les attentats touchent principalement les plus grandes villes du pays, les villes plus modestes ne sont pas épargnés : Saint-Quentin-Fallavier (décapitation d’Hervé Cornara, 55 ans, par Yassin Salhi), Magnanville (assassinat à leur domicile d’un commandant de police et de sa compagne par Larossi Abballa), Saint-Etienne-du-Rouvray (égorgement d’un prêtre), Carcassonne et Trèbes (prise d’otage qui se termine par la mort de 4 personnes, dont Arnaud Beltrame, par un marocain naturalisé français), Strasbourg (un franco-algérien de 29 ans déambule dans les rues et assassine 5 passants à proximité du marché de Noël), Romans-sur-Isère (deux passants tués par un Soudanais), et maintenant Conflans-Sainte-Honorine.
La totalité des attentats commis en France est le fait de populations aux origines extra-européennes. Il faut le dire clairement. Entre les jeunes européens de France et les autres, le fossé se creuse. Un sondage de l’IFOP révélait récemment que 74% des musulmans de nationalité française de moins de 25 ans mettent l’islam avant la République. De surcroît, près de la moitié d’entre eux pense que « l’islam est incompatible avec les valeurs de la société française » (2). Que les choses soient claires, nous ne sommes pas nous non plus compatibles avec « les valeurs de la société française », et nous mettons les intérêts de la Bretagne bien avant ceux de la République française que nous méprisons. Mais entendons-nous bien toutefois, ce que rejettent les musulmans quand ils rejettent « la République » et « les valeurs de la société française », c’est l’Europe dans son ensemble, ses valeurs millénaires et son identité profonde.
L’islamisme en Bretagne, une progression lente, mais constante.
Pour l’instant, aucun attentat n’a été commis sur le sol breton. Notons toutefois qu’une équipe d’islamistes de la région brestoise préparait récemment un attentat dans le Finistère (3). Comme d’habitude, impossible de savoir si les terroristes en question sont en prison ou si ils sont à nouveau dans la nature, assis à la terrasse d’un café de la rue Jean-Jaurès.
Il est très difficile d’estimer le nombre de musulmans qu’il y a en Bretagne, étant donné que la France est très frileuse sur les recensements ethniques et religieux. Breizh-Info recensait 53 mosquées en Bretagne en 2014 (4), on peut imaginer qu’il doit y en avoir une bonne dizaine de plus, sans compter les salles de prières illégales qui fleurissent dans les grandes agglomérations.

Les prénoms donnés à la naissance sont aussi des informations précieuses pour se faire une idée du nombre de musulmans en Bretagne . En 2019, plus de 21% des prénoms donnés à la naissance en France sont musulmans. La répartition régionale donne 7% des prénoms musulmans à l’échelle de la Bretagne administrative et 11% à l’échelle de la Loire-Atlantique, ce qui donnerait pour la Bretagne dans son ensemble un total d’environ 9% de nouveaux-nés portant des prénoms musulmans. Certaines régions en France sont dans une situation bien plus préoccupante : 1/3 des nouveaux-nés dans la région Île-de-France, 19 % en Auvergne-Rhône-Alpes et 23% en Paca (5).

Des récentes informations du ministère de l’intérieur nous permettent aussi d’établir avec plus de précision le nombre de radicalisés par département. Ces informations nous permettent d’estimer à environ 300 ou 400 le nombre d’individus signalés pour radicalisation en Bretagne (6). Si l’on ajoute à cela les radicaux passés sous les radars, on arrive à des chiffres qui donnent le vertige.

Quelles leçons tirer du naufrage français ?
Il est plus que temps pour les nationalistes bretons de tirer les leçons du naufrage français sur la question de l’islam. La France a péché par lâcheté et par refus de prendre le problème à bras le corps. Faute de regarder la réalité en face et de tirer les conclusions nécessaires, la France se réveille avec un goût amer dans la bouche. Les appels à l’unité de son personnel politique n’y font rien. L’unité française s’est définitivement perdue dans les salles de prières des caves du 93.
Dans le mouvement breton, c’est la lâcheté qui prévaut. Du côté de l’UDB, on préfère ne pas nommer le mal et dénoncer un vague « acte barbare ».

Chez Mathieu Guihard, du PB, on dénonce « l’islamisme radical », « totalitarisme » qui « comme tous » (sic) « devra être combattu sans concession & sans faiblesse ». Doit-on lui rappeler que le communisme s’est effondré il y a 30 ans et que le fascisme n’existe plus que dans la tête de BHL ?
L’heure n’est plus aux tergiversations et aux dénonciations vagues. Il faut avoir le courage de dénoncer clairement l’islam politique comme ennemi de la société bretonne et plus généralement des sociétés européennes. Et, contrairement à ce que disent les grands pontes de L’État français, il faut aussi avoir le courage de dire que ce qui fait le lit de l’islam politique, ce n’est pas « la pauvreté » et « le manque de culture », mais bien l’immigration massive et incontrôlée imposée ces dernières décennies par les dirigeants de L’État français, de gauche comme de droite.
Pour une Bretagne bretonne dans une Europe européenne !
…
(1) https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_d%27attaques_terroristes_islamistes_en_France#2012
(4) https://www.breizh-info.com/2014/05/19/12434/nombre-mosquees-en-bretagne-double-2003-2014/
il fallait s »y attendre même si la victime avait prévenu que l’image était choquante pour un musulman et qu’il les avait invités à sortir de la classe à cause de cela. Il fallait bien s’y attendre. Moi je suis prof d’Histoire et simplement le fait d’avoirr dit un jour que sans la victoire de Charle Martel à Poitiers la France serait peut-être musulmane (dans un cours sur la naissance et l’expansion de l’Islam) m’a valu des rendez-vous de parents et surtout le non soutien de ma hiérarchie. Et on ne parle pas ici d’Islamistes mais de simples musulmans. Que croyez vous que je fasse maintenant ? Je passe très très vite sur Poitiers 732. De plus je trouve en tant que catholique très choquante la caricature de Charly Hebdo montrant le Christ en croix en forme de Phallus ou encore celle qui montre le pape enculant un enfant … et combien de centaines d’autres. Choquer les gens dans ce qu’ils ont de plus précieux n’est pas à mon avis faire preuve de pédagogie. Il a fait une erreur, il l’a reconnu d’ailleurs, mais ces excuses, qui suffisent pour un catholique, ne suffisent apparemment pas pour des extrêmistes islamistes, voilà la différence.
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Pas étonné par votre anecdote sur 732. Du reste, le professeur avait ici proposé aux enfants concernés de sortir, pour moi ce n’est donc pas une « erreur », surtout qu’il enseigne dans le public. Je comprends quand même que ces dessins puissent choquer des chrétiens, je les trouve moi-même très mauvais, mais je suis favorable à la liberté d’expression. Le véritable problème pour moi, c’est la présence de populations extra-européennes sur le sol européen qui ne supportent rien. Sans eux, pas d’islamisme et pas de décapitations.
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Les militants Bretons sont à la ramasse complète sur l’islam / le totalitarisme islamique. Ils ont le cerveau passé au mixeur du gauchisme. De mon point de vu, un désastre pour la Bretagne dont ne nous sommes pas près de nous relever (et c’est en tant qu’individu issu d’une famille de gauche, ayant réussi son sevrage qui vous le dit !). Je me suis exprimé à plusieurs reprises sur abp.bzh (Agence Bretagne Presse de Philippe Argouarc’h) sur cette idéologie suprémaciste. En guise d’illustration voici ma réaction/réponse (en date du 18 et surtout du 24 novembre 2015) au texte de P.-V. Kerloc’h, Grand néo-Druide de Bretagne, publié le 17/11/2015 : https://abp.bzh/38915
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Merci pour ce témoignage. Nous entendons justement porter une autre voix dans l’Emsav. Nous avons pleinement conscience du remplacement de population et de l’islamisation de la Bretagne, et nous voulons proposer une alternative nationaliste et bretonne.
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